lundi 26 décembre 2016
mardi 20 décembre 2016
LETTRE DE RÉCLAMATION
Corrigé production écrite p. 57:
La lettre de réclamation
Madame, Monsieur,
Je me permets de vous écrire au sujet de l’annulation du vol AZ 2209 à destination de la Guadeloupe et initialement prévu le samedi 21 mars 2015 à 7 h 15.
Ma femme et moi avions prévu de nous rendre à Pointe-à-Pitre du samedi 21 mars 2015 au samedi 28 mars 2015 et nous avions donc à cet efft réservé des billets d’avion auprès de votre compagnie aérienne. Or, en arrivant à l’aéroport, nous avons constaté que le vol devant nous y mener avait été annulé et ce, sans aucune information de votre part. Vous aviez pourtant nos coordonnées et nous prévenir nous aurait évité un déplacement matinal et des frais de taxi.
Suite à cette mauvaise surprise, nous sommes alors allés au comptoir de votre compagnie afin d’obtenir un autre billet d’avion dans la journée. Votre employé a été très impoli et a refusé de nous aider. Nos billets n’ont été ni remboursés ni échangés et aucune explication ne nous a été fournie. Je ne vous parle pas non plus des frais d’hôtel pour une semaine à Pointe-à-Pitre que nous avions réglés et que nous avons perdus à cause de vous.
Je suis depuis surpris de votre silence, et ce malgré mes nombreux coups de téléphone. Ce n’est absolument pas professionnel. Je vous informe en conséquence que j’ai l’intention de porter plainte contre votre compagnie.
Je suis cependant disposé à ne pas porter plainte si vous acceptez de me rembourser l’intégralité des frais engendrés. Veuillez d’ailleurs trouver ci-joint les diffrentes factures correspondant à ces frais.
En espérant que ma requête retiendra votre attention, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Monsieur Duchrolt
La lettre de réclamation
Madame, Monsieur,
Je me permets de vous écrire au sujet de l’annulation du vol AZ 2209 à destination de la Guadeloupe et initialement prévu le samedi 21 mars 2015 à 7 h 15.
Ma femme et moi avions prévu de nous rendre à Pointe-à-Pitre du samedi 21 mars 2015 au samedi 28 mars 2015 et nous avions donc à cet efft réservé des billets d’avion auprès de votre compagnie aérienne. Or, en arrivant à l’aéroport, nous avons constaté que le vol devant nous y mener avait été annulé et ce, sans aucune information de votre part. Vous aviez pourtant nos coordonnées et nous prévenir nous aurait évité un déplacement matinal et des frais de taxi.
Suite à cette mauvaise surprise, nous sommes alors allés au comptoir de votre compagnie afin d’obtenir un autre billet d’avion dans la journée. Votre employé a été très impoli et a refusé de nous aider. Nos billets n’ont été ni remboursés ni échangés et aucune explication ne nous a été fournie. Je ne vous parle pas non plus des frais d’hôtel pour une semaine à Pointe-à-Pitre que nous avions réglés et que nous avons perdus à cause de vous.
Je suis depuis surpris de votre silence, et ce malgré mes nombreux coups de téléphone. Ce n’est absolument pas professionnel. Je vous informe en conséquence que j’ai l’intention de porter plainte contre votre compagnie.
Je suis cependant disposé à ne pas porter plainte si vous acceptez de me rembourser l’intégralité des frais engendrés. Veuillez d’ailleurs trouver ci-joint les diffrentes factures correspondant à ces frais.
En espérant que ma requête retiendra votre attention, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Monsieur Duchrolt
dimanche 18 décembre 2016
FLEUVE/RIVIÈRE
Rivière
Une rivière est un cours d'eau de petite ou moyenne
importance, c'est à dire un chenal d'eau qui s’écoule de manière
permanente ou temporaire à la surface de la terre ou de manière
souterraine. L'endroit où naît la rivière est appelé la source et elle coule dans un sillon appelé le lit.
Une rivière peut se jeter dans une autre rivière ( on parle alors
d'affluent) ou dans un lac. Le point où la rivière termine pour
rejoindre une autre rivière ou un lac s'appelle l'embouchure.
Il existe plusieurs autres manières d'appeler un cours, et il y a parfois ambiguïté dans l’utilisation de ces mots. On peut parler aussi de "ruisseau", qui est un cours d'eau de petite taille et de faible débit, de "torrent", qui est un cours d'eau irrégulier de débit assez intense par endroits, et que l'on trouve sur les flancs des montagnes, et "fleuves", que nous allons expliquer dans la suite.
Il existe plusieurs autres manières d'appeler un cours, et il y a parfois ambiguïté dans l’utilisation de ces mots. On peut parler aussi de "ruisseau", qui est un cours d'eau de petite taille et de faible débit, de "torrent", qui est un cours d'eau irrégulier de débit assez intense par endroits, et que l'on trouve sur les flancs des montagnes, et "fleuves", que nous allons expliquer dans la suite.
Fleuve
Un fleuve est bien évidement un cours d'eau dans sa définition, mais ce qui le différencie d'une rivière est sa taille et son débit beaucoup plus important, mais surtout le fait qu'un fleuve se jette toujours dans la mer ou l'océan. L'embouchure d'un fleuve peut prendre deux formes, soit un estuaire soit un delta. On dénombre en France une cinquantaine de fleuves, c'est à dire de cours d'eau se jetant dans la Méditerranée, l'Atlantique ou la Manche, et les plus importants sont la Loire ( le fleuve le plus long de France), La Seine, la Garonne, le Rhône et le Rhin.http://education.toutcomment.com
LIEU/ENDROIT/PLACE
Lieu, endroit et place, en dépit de leur contenu très pauvre, ne sont pas des synonymes absolus.
Lieu marque un total d'espace; endroit n'indique proprement que la partie d'un espace plus étendu; place insinue une idée d'ordre & d'arrangement. Ainsi l'on dit le lieu de l'habitation; l'endroit d'un livre cité; la place d'un convive, ou de quelqu'un qui a séance dans une assemblée. On est dans le lieu, on cherche l'endroit, on occupe la place.
Paris est le lieu de toute la France le plus agréable; les espions vont dans tous les endroits de la ville; les premieres places ne sont pas toujours les plus commodes.
Il faut, tant qu'on peut, préférer les lieux sains, les endroits connus, & les places convenables.
On utilise le mot lieu soit pour parler de l’usage que l’on fait d’un espace, soit pour parler d’un évènement qui s’y déroule.
Si l’espace dont vous parlez est celui où vous travaillez par exemple, vous pourrez dire que c’est votre « lieu de travail ». Si un évènement comme par exemple un crime s’y déroule, vous pourrez dire que c’est le «lieu du crime ». D’ailleurs, pour dire qu’un évènement se déroule, on dit qu’il a lieu. C’est vrai quel que soit le temps employé : présent, passé, futur…
Un autre évènement important dans votre vie est votre naissance. Ainsi, lorsque vous avez des démarches administratives à faire et des papiers à remplir, vous devez indiquer votre « lieu de naissance ».
On utilise le mot endroit pour marquer l’appartenance à un ensemble plus grand ou un cadre défini, délimité.
Par exemple, vous pourrez dire : « Chez moi, il y a un endroit du salon qui est toujours bien ensoleillé. » : c’est l’espace délimité qui reçoit le soleil et qui appartient à un ensemble plus grand : votre appartement ou votre maison.
Si vous visitez une nouvelle ville et que vous voulez savoir où se trouve le marché, vous pourrez demander à quel endroit il se trouve. En effet, le marché occupe un espace défini dans une ville (qui est l’ensemble plus grand dans lequel se trouve le marché).
Enfin, on utilise le mot place pour marquer l’étendue de l’espace occupé et pour parler d’un site destiné à être occupé.
C’est la raison pour laquelle vous pouvez dire :
Lieu marque un total d'espace; endroit n'indique proprement que la partie d'un espace plus étendu; place insinue une idée d'ordre & d'arrangement. Ainsi l'on dit le lieu de l'habitation; l'endroit d'un livre cité; la place d'un convive, ou de quelqu'un qui a séance dans une assemblée. On est dans le lieu, on cherche l'endroit, on occupe la place.
Paris est le lieu de toute la France le plus agréable; les espions vont dans tous les endroits de la ville; les premieres places ne sont pas toujours les plus commodes.
Il faut, tant qu'on peut, préférer les lieux sains, les endroits connus, & les places convenables.
On utilise le mot lieu soit pour parler de l’usage que l’on fait d’un espace, soit pour parler d’un évènement qui s’y déroule.
Si l’espace dont vous parlez est celui où vous travaillez par exemple, vous pourrez dire que c’est votre « lieu de travail ». Si un évènement comme par exemple un crime s’y déroule, vous pourrez dire que c’est le «lieu du crime ». D’ailleurs, pour dire qu’un évènement se déroule, on dit qu’il a lieu. C’est vrai quel que soit le temps employé : présent, passé, futur…
Un autre évènement important dans votre vie est votre naissance. Ainsi, lorsque vous avez des démarches administratives à faire et des papiers à remplir, vous devez indiquer votre « lieu de naissance ».
On utilise le mot endroit pour marquer l’appartenance à un ensemble plus grand ou un cadre défini, délimité.
Par exemple, vous pourrez dire : « Chez moi, il y a un endroit du salon qui est toujours bien ensoleillé. » : c’est l’espace délimité qui reçoit le soleil et qui appartient à un ensemble plus grand : votre appartement ou votre maison.
Si vous visitez une nouvelle ville et que vous voulez savoir où se trouve le marché, vous pourrez demander à quel endroit il se trouve. En effet, le marché occupe un espace défini dans une ville (qui est l’ensemble plus grand dans lequel se trouve le marché).
Enfin, on utilise le mot place pour marquer l’étendue de l’espace occupé et pour parler d’un site destiné à être occupé.
C’est la raison pour laquelle vous pouvez dire :
- J’ai rangé mes livres à leur place.
- On peut mettre cette petite table dans le coin de la pièce, elle ne prend pas beaucoup de place.
- Ce siège est libre ? C’est votre place ?
- Si vous achetez des billets pour aller au théâtre, vous pouvez dire : « J’ai pris une place pour la pièce de théâtre qui se jouera le week-end prochain. J’espère que ce sera bien ! »
http://yolainebodin.com/fr
jeudi 15 décembre 2016
LE PETIT PRINCE
le petit prince
LCFF Magazine n°28 - Livres
______________________________
______________________________
Le Petit Prince
Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry
|
dimanche 4 décembre 2016
jeudi 1 décembre 2016
mardi 29 novembre 2016
dimanche 27 novembre 2016
dimanche 20 novembre 2016
jeudi 17 novembre 2016
mercredi 16 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
dimanche 13 novembre 2016
mardi 8 novembre 2016
samedi 5 novembre 2016
mardi 1 novembre 2016
samedi 29 octobre 2016
CHANGEMENT D'HEURE
Cette nuit en
France, à 3 heures il sera 2 heures
Le Monde.fr avec AFP | 29.10.2016
La France et les autres pays de l’Union européenne (UE) vont
repasser à l’heure d’hiver
dans la nuit de samedi 29 à dimanche 30 octobre. Leurs habitants
gagneront une heure de sommeil puisque dimanche à 3 heures, il sera
2 heures. En France, le décalage par rapport à l’heure
GMT se réduira à + 1 heure, contre GMT + 2 de fin mars à fin octobre.
Depuis 1998, les dates du passage à l’heure d’été, le dernier dimanche de mars,
et à celle d’hiver, le dernier dimanche d’octobre, sont harmonisées au sein de
l’Union européenne. En France, le dispositif existe depuis 1923, mais il a
connu des interruptions. C’est en 1976 qu’il a finalement été rétabli par
Valéry Giscard d’Estaing pour des raisons d’économie après la première crise
pétrolière. L’idée était de faire coïncider les horaires
d’activité avec l’ensoleillement pour limiter l’utilisation de
l’éclairage artificiel.
Tout comprendre : Qu’est-ce qui justifie (ou pas)
le changement d’heure ?
La Turquie
abandonne le changement d’heure
Le changement d’heure continue cependant à susciter des
critiques. Selon Claude Gronfier, chercheur à l’Institut national de la
santé et de la recherche médicale (Inserm), « changer d’heure provoque
entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les
personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine
pour s’adapter aux nouveaux horaires ».
L’heure d’été reviendra en 2017 dans la nuit
du 25 au 26 mars. A l’instar des pays du Golfe, la Turquie a
fait récemment le choix de conserver l’heure d’été toute l’année à partir du 30 octobre
et de ne plus changer
vendredi 28 octobre 2016
ONOMATOPÉES
Les onomatopées sont des mots créés pour imiter des sons produits par des êtres animés ou des objets. |
En voici quelques autres.
Dans un sens plus large on appelle onomatopée un mot traduisant des sentiments ou sensations. |
douleur: aïe! ouille! dégoût: berk! beurk, pouah! rire: ah! ah! ah! hi! hi! hi! soulagement: ouf! chut ! silence dépit: zut !(fam.) |
mardi 25 octobre 2016
dimanche 23 octobre 2016
vendredi 21 octobre 2016
PRODUCTION ÉCRITE >>>> DELF.–.Question.4
Proposition de corrigé :
Madame,
Je fais suite à la note aux parents datée du XX que vous nous avez communiquée.
Je trouve inacceptable que l’enseignement d’une langue vivante dont bénéficiaient jusqu’à présent nos enfants ne soit plus assuré dans votre école primaire.
En effet, connaître une ou plusieurs langue(s) vivante(s) étrangère(s) est aujourd’hui indispensable pour réussir dans la vie. Vous n’ignorez pas que la mondialisation a ouvert les marchés économiques et, actuellement, savoir communiquer dans la langue des partenaires est un véritable atout. Je sais bien que nos enfants ne sont pas encore confrontés aux problématiques de la vie professionnelle que je viens d’évoquer, néanmoins plus tôt ils seront sensibilisés aux langues vivantes étrangères, moins de difficultés ils auront à en maîtriser une, voire plusieurs, à l’âge adulte.
De plus, vous nous signalez en toute innocence que nos enfants pourront toujours avoir accès à l’apprentissage d’une langue étrangère au cours municipal, après l’école. Mais pour cela, ce sera à nous, parents, de payer ces cours à nos enfants. J’estime que cela ne fera que renforcer les inégalités entre les élèves : les parents qui pourront se permettre cette dépense donneront une vraie chance à leurs enfants pour le futur alors que ceux qui ne pourront pas assurer le règlement du cours municipal priveront leurs enfants d’un enseignement aujourd’hui primordial. L’école publique n’est-elle justement pas là pour garantir l’égalité des chances de tous les enfants, quelle que soit leur origine sociale ? Ne voyez-vous pas que, par cette mesure, vous êtes en train de renier l’un des principes fondamentaux de l’école de la République ?
Je comprends bien que vous êtes obligée de faire des choix suite aux restrictions budgétaires imposées par l’Éducation nationale, cependant pourquoi décider de supprimer les langues vivantes ? Ne pensez-vous pas qu’il soit possible d’alléger d’autres enseignements ou de se passer de certains matériels de classe avant de prendre la très lourde décision de priver nos enfants de l’anglais, de l’allemand ou de l’espagnol, langues actuellement proposées par votre établissement ?
Dans la classe de mon fils, il y a, par exemple, un lapin que l’instituteur a décidé de faire acheter par l’école afin de sensibiliser les enfants à la vie animale, thématique au programme des sciences naturelles cette année. Si l’on fait le calcul, on se rend compte qu’à la fin de l’année scolaire, la cage, les frais de nourriture et éventuellement de vétérinaire représentent une somme assez importante.
Je pense qu’il serait plus judicieux d’allouer la part du budget de l’école représentée par le lapin à l’achat des méthodes de langues vivantes de qualité auxquelles vous faites référence dans votre note et ainsi de rétablir cet enseignement. Pour compenser la perte du lapin, les instituteurs pourront montrer des vidéos trouvées sur le Net aux enfants. Cela est gratuit et facilement accessible puisque vos salles de classe sont déjà toutes pourvues d’un vidéoprojecteur et d’une connexion à Internet.
Je vous propose, afin de laisser l’ensemble des parents d’élèves s’exprimer à ce sujet et présenter les solutions auxquelles ils n’auront pas manqué de penser, de convoquer une réunion extraordinaire lundi prochain, après la classe, dans vos locaux.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à ce courrier et vous prie d’agréer, Madame, l’expression des mes salutations distinguées.
Madame/Monsieur X
Proposition de corrigé :
Madame,
Je fais suite à la note aux parents datée du XX que vous nous avez communiquée.
Je trouve inacceptable que l’enseignement d’une langue vivante dont bénéficiaient jusqu’à présent nos enfants ne soit plus assuré dans votre école primaire.
En effet, connaître une ou plusieurs langue(s) vivante(s) étrangère(s) est aujourd’hui indispensable pour réussir dans la vie. Vous n’ignorez pas que la mondialisation a ouvert les marchés économiques et, actuellement, savoir communiquer dans la langue des partenaires est un véritable atout. Je sais bien que nos enfants ne sont pas encore confrontés aux problématiques de la vie professionnelle que je viens d’évoquer, néanmoins plus tôt ils seront sensibilisés aux langues vivantes étrangères, moins de difficultés ils auront à en maîtriser une, voire plusieurs, à l’âge adulte.
De plus, vous nous signalez en toute innocence que nos enfants pourront toujours avoir accès à l’apprentissage d’une langue étrangère au cours municipal, après l’école. Mais pour cela, ce sera à nous, parents, de payer ces cours à nos enfants. J’estime que cela ne fera que renforcer les inégalités entre les élèves : les parents qui pourront se permettre cette dépense donneront une vraie chance à leurs enfants pour le futur alors que ceux qui ne pourront pas assurer le règlement du cours municipal priveront leurs enfants d’un enseignement aujourd’hui primordial. L’école publique n’est-elle justement pas là pour garantir l’égalité des chances de tous les enfants, quelle que soit leur origine sociale ? Ne voyez-vous pas que, par cette mesure, vous êtes en train de renier l’un des principes fondamentaux de l’école de la République ?
Je comprends bien que vous êtes obligée de faire des choix suite aux restrictions budgétaires imposées par l’Éducation nationale, cependant pourquoi décider de supprimer les langues vivantes ? Ne pensez-vous pas qu’il soit possible d’alléger d’autres enseignements ou de se passer de certains matériels de classe avant de prendre la très lourde décision de priver nos enfants de l’anglais, de l’allemand ou de l’espagnol, langues actuellement proposées par votre établissement ?
Dans la classe de mon fils, il y a, par exemple, un lapin que l’instituteur a décidé de faire acheter par l’école afin de sensibiliser les enfants à la vie animale, thématique au programme des sciences naturelles cette année. Si l’on fait le calcul, on se rend compte qu’à la fin de l’année scolaire, la cage, les frais de nourriture et éventuellement de vétérinaire représentent une somme assez importante.
Je pense qu’il serait plus judicieux d’allouer la part du budget de l’école représentée par le lapin à l’achat des méthodes de langues vivantes de qualité auxquelles vous faites référence dans votre note et ainsi de rétablir cet enseignement. Pour compenser la perte du lapin, les instituteurs pourront montrer des vidéos trouvées sur le Net aux enfants. Cela est gratuit et facilement accessible puisque vos salles de classe sont déjà toutes pourvues d’un vidéoprojecteur et d’une connexion à Internet.
Je vous propose, afin de laisser l’ensemble des parents d’élèves s’exprimer à ce sujet et présenter les solutions auxquelles ils n’auront pas manqué de penser, de convoquer une réunion extraordinaire lundi prochain, après la classe, dans vos locaux.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à ce courrier et vous prie d’agréer, Madame, l’expression des mes salutations distinguées.
Madame/Monsieur X
lundi 17 octobre 2016
MOTS DE LIAISON
Les connecteurs logiques
Publié le 17/11/2008 à 12:00 par lagrammairepourtous
On appelle connecteurs logiques les mots et expressions qui servent à enchaîner les idées, à construire l’argumentation, le discours.
Ces expressions peuvent intervenir à différents niveaux.
Pour ajouter : et, de plus , mais encore, puis
Pour classer : premièrement, deuxièmement, troisièmement...
Émettre une restriction : cependant, toutefois, néanmoins sauf...
Addition: Et / De plus / Puis / En outre / Non seulement... mais encore
Alternative : Ou / Soit… soit / Soit… ou / Tantôt… tantôt / Ou… ou /Ou bien / Seulement… mais encore / L’un… l’autre / D’un côté… de l’autre / d’un côté...d’un autre côté, d’une part...d’autre part
But : Afin que / Pour que / De peur que / En vue de / De façon à ce que
Cause : Car / En effet / Effectivement / Comme / Par / Parce que Puisque / Attendu que / Vu que / Etant donné que / Grâce à / Par suite de / Eu égard à / En raison de / Du fait que / Dans la mesure où / Sous prétexte que
Comparaison : Comme / De même que / Ainsi que / Autant que / Aussi… que Si… que / De la même façon que / Semblablement / Pareillement / Plus que / Moins que / Non moins que / Selon que / Suivant que / Comme si
Concession : Malgré / En dépit de / Quoique / Bien que / Alors que / Quelque soit
/ Même si / Ce n’est pas que / Certes / Bien sûr / Évidemment / Il est vrai que / Toutefois
Conclusion : En conclusion / Pour conclure / En guise de conclusion / En somme / Bref / Ainsi / Donc / En résumé / En un mot / Par conséquent / Finalement / Enfin / En définitive
Condition, supposition : Si / Au cas où / A condition que / Pourvu que / A moins que / En admettant que / Pour peu que / A supposer que / En supposant que / Dans l’hypothèse où / Dans le cas où / Probablement / Sans doute / Apparemment.
Conséquence : Donc / Aussi / Partant / Alors / Ainsi / Par conséquent / si bien que /
D’où / En conséquence / Conséquemment / Par suite /C’est pourquoi / De sorte que / En sorte que /De façon que/ De manière que / Si bien que / Tant et
Classification, énumération : D’abord / Tout d’abord / En premier lieu / Premièrement / En deuxième lieu / Deuxièmement / Après / Ensuite / De plus / Quant à / En troisième lieu / Puis/En dernier lieu / Pour conclure / Enfin.
Explication : À savoir / C’est-à-dire / Soit .
Illustration : Par exemple / Comme / Ainsi / C’est ainsi que / C’est le cas de / Notamment / Entre autre / En particulier.
Justification : Car / C’est-à-dire / En effet / Parce que / Puisque /En sorte que/ Ainsi / C’est ainsi que / Non seulement… mais encore / Du fait de
Liaison : Alors / Ainsi / Aussi / D’ailleurs /En fait /En effet /De surcroît /De même / Également / Puis / Ensuite.
Opposition : Mais / Cependant /Or / En revanche /Alors que / Pourtant / Par contre / Tandis que / Néanmoins / Au contraire / Pour sa part / D’un autre côté / En dépit de / Malgré / Au lieu de.
Restriction : Cependant / Toutefois / Néanmoins / Pourtant / Mis à part / Ne… que / En dehors de / Hormis / A défaut de / Excepté / Sauf / Uniquement / Simplement.
Temps : Quand /Lorsque / Comme / Avant que / Après que / Alors que / Dès lors que / Tandis que Depuis que / En même temps que / Pendant que / Au moment où .
Alternative : Ou / Soit… soit / Soit… ou / Tantôt… tantôt / Ou… ou /Ou bien / Seulement… mais encore / L’un… l’autre / D’un côté… de l’autre / d’un côté...d’un autre côté, d’une part...d’autre part
But : Afin que / Pour que / De peur que / En vue de / De façon à ce que
Cause : Car / En effet / Effectivement / Comme / Par / Parce que Puisque / Attendu que / Vu que / Etant donné que / Grâce à / Par suite de / Eu égard à / En raison de / Du fait que / Dans la mesure où / Sous prétexte que
Comparaison : Comme / De même que / Ainsi que / Autant que / Aussi… que Si… que / De la même façon que / Semblablement / Pareillement / Plus que / Moins que / Non moins que / Selon que / Suivant que / Comme si
Concession : Malgré / En dépit de / Quoique / Bien que / Alors que / Quelque soit
/ Même si / Ce n’est pas que / Certes / Bien sûr / Évidemment / Il est vrai que / Toutefois
Conclusion : En conclusion / Pour conclure / En guise de conclusion / En somme / Bref / Ainsi / Donc / En résumé / En un mot / Par conséquent / Finalement / Enfin / En définitive
Condition, supposition : Si / Au cas où / A condition que / Pourvu que / A moins que / En admettant que / Pour peu que / A supposer que / En supposant que / Dans l’hypothèse où / Dans le cas où / Probablement / Sans doute / Apparemment.
Conséquence : Donc / Aussi / Partant / Alors / Ainsi / Par conséquent / si bien que /
D’où / En conséquence / Conséquemment / Par suite /C’est pourquoi / De sorte que / En sorte que /De façon que/ De manière que / Si bien que / Tant et
Classification, énumération : D’abord / Tout d’abord / En premier lieu / Premièrement / En deuxième lieu / Deuxièmement / Après / Ensuite / De plus / Quant à / En troisième lieu / Puis/En dernier lieu / Pour conclure / Enfin.
Explication : À savoir / C’est-à-dire / Soit .
Illustration : Par exemple / Comme / Ainsi / C’est ainsi que / C’est le cas de / Notamment / Entre autre / En particulier.
Justification : Car / C’est-à-dire / En effet / Parce que / Puisque /En sorte que/ Ainsi / C’est ainsi que / Non seulement… mais encore / Du fait de
Liaison : Alors / Ainsi / Aussi / D’ailleurs /En fait /En effet /De surcroît /De même / Également / Puis / Ensuite.
Opposition : Mais / Cependant /Or / En revanche /Alors que / Pourtant / Par contre / Tandis que / Néanmoins / Au contraire / Pour sa part / D’un autre côté / En dépit de / Malgré / Au lieu de.
Restriction : Cependant / Toutefois / Néanmoins / Pourtant / Mis à part / Ne… que / En dehors de / Hormis / A défaut de / Excepté / Sauf / Uniquement / Simplement.
Temps : Quand /Lorsque / Comme / Avant que / Après que / Alors que / Dès lors que / Tandis que Depuis que / En même temps que / Pendant que / Au moment où .
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